Après La Reine des Neiges II, Disney Animation abandonne la glace scandinave d’Arendelle pour le royaume oriental fictif de Kumandra. En effet, Raya et le Dernier Dragon est le prochain gros celluloid du studio, et il se révèle enfin dans un premier teaser tout fellow tout chaud ! Dévoilé lors de la D23 en 2019, Raya est réalisé par Carlos Lopez Estrada (fifty’fantabulous Blindspotting) et Don Hall (Les Nouveaux Héros et co-réalisateur de Vaiana). Ces derniers remplacent Paul Briggs et Jon Ripa (floor artists sur Zootopie ou encore Le Géant de Fer), qui restent tout de même co-réalisateurs.
Raya et le Dernier Dragon se déroule donc dans le royaume fictif de Kumandra, divisé en 7 régions et autant de clans. Autrefois, cette contrée exotique était un paisible havre de paix où humains et dragons vivaient en harmonie. Jusqu’au jour fatidique où une forcefulness maléfique frappa, et tous les dragons se sacrifièrent pour la vaincre. Des siècles plus tard, une gardienne du nom de Raya se mettra en quête du dernier dragon pour contrer le retour de cette menace.
Raya et la dernière claque 3D
Le 1er teaser montre que les artistes de chez Disney sec’y connaissent en terme d’animation 3D : c’est somptueux visuellement et inspiré. On peut voir dans un premier temps une séquence flash-dorsum où fifty’héroïne parait tout droit sorti de Avatar le dernier maître de l’Air. Puis quelques plans addition tard, le vrai look de Raya donc, qui parait plus âgée et expérimentée que la plupart des princesses Disney du siècle dernier.
L’univers du celluloid est par ailleurs inspiré de la Thaïlande, du Lao People's Democratic Republic, du Vietnam et du Cambodge : Disney préférant en effet explorer des environnements d’Asie du Sud-Est, jusque là jamais explorés en animation. Rayon doublage Kelly Marie Tran (Star Wars – Les Derniers Jedi) incarne Raya, et Awkwafina (L’Adieu) prête sa voix à Sisu, le fameux dernier dragon d’eau capable de prendre forme humaine. Tout un programme donc, scénarisé par Adèle Lim (Crazy Rich Asians), et avec James Newton Howard à la BO. Devant les promesses visuelles et d’univers, on a décidément hâte d’être 50’an prochain.